02256nas a2200157 4500000000100000008004100001260002400042653003800066653003300104653001800137100001700155245016200172856010500334300001000439520164900449 d bArti Grafiche E.Duc10aOvercommercialization (ICH\_1127)10aTouristification (ICH\_1122)10aTürkiye (TR)1 aEvrim Ozunel00aDark sides of intangible cultural heritage: touristification, decontextualization, nationalization, museumification, authentication and overcommercialization uhttps://www.researchgate.net/publication/238714489_From_Ethnology_to_Heritage_The_Role_of_the_Museum a49-683 aL’UNESCO souhaite réaliser une évaluation des besoins avec la participation des communautés concernant la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) dans la province du Nord‐Kivu, en République démocratique du Congo (RDC), et ce dans un contexte de conflit de longue durée et de déplacements forcés de populations. L objectif est de comprendre, d’une part, comment certains éléments du PCI sont affectés (transformation, adaptations, disparition, etc.) par les conflits et déplacements, mais également si et comment certains éléments peuvent favoriser la résilience des populations déplacées et des communautés d’accueil, ainsi que la cohésion sociale et la paix. Cette évaluation des besoins s’effectuera sur la base d’un état des lieux de la question à partir de sources secondaires, suivi d’une enquête auprès de plusieurs communautés au Nord‐Kivu. L’évaluation des besoins vise un double objectif à la fois national et global. Elle devrait permettre d’élaborer une action spécifique de sauvegarde du PCI pour le Nord‐Kivu, et ce dans le cadre de la Convention de l’UNESCO de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (ci‐après Convention de 2003). D’autre part, l’activité s’inscrit dans un cadre plus général d’études de cas réalisées pour nourrir les réflexions du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel sur le PCI en situation d’urgence. L’activité est organisée par la Section du patrimoine culturel immatériel au siège de l’UNESCO en collaboration avec le Bureau de l’UNESCO à Kinshasa.